Matthieu 7.21-27 –
Dimanche dernier, je vous ai fait part que nous vivons dans un monde caractérisé par ce qu’on peut appeler l’ambiguïté morale. Rien n’est clair, tout est relatif. Il existe un dédain pour les absolus, pour des vérités qu’on ne peut remettre en question. C’est pourquoi la Parole de Dieu, qui contient plusieurs absolus, est rejetée par plusieurs. Des absolus, nous en retrouvons dans la dernière partie du Sermon sur la Montagne, dans Matthieu 7. 13 à 27 où
Jésus nous présente une série d’antithèses par groupes de deux : deux chemins, deux arbres et les fruits respectifs qu’ils portent, deux prétentions et deux maisons. Nous avons vu que celui qui se dit être citoyen du royaume des cieux et disciple de Jésus-Christ est placé devant un choix sans équivoque, devant des absolus. Après avoir médité ceux des deux chemins, nous allons nous pencher sur ceux des deux prétentions et ceux des deux maisons aux v. 21 à 27.